THE RESURF PROJECT : Une nouvelle vie pour vos vieilles planches

L’image du surf est associé à la liberté et à l’exotisme sur les océans vierges de la planète.
Mais le nombre croissant de surfeurs nécessite l’augmentation de la fabrication de planches et ces derniers changent souvent de matériel. Comment donner une nouvelle existence à toutes ces planches de surf et s’orienter vers un développement plus durable, en symbiose avec l’océan et la nature ?

 

 

Plus de 400 000 planches de surf sont fabriquées par an dans le monde. Mais quel est leur destin hormis l’incinération ou l’enfouissement ? Si des associations comme Surfeurs Solidaires prolongent la vie des planches, cela ne résout pas le problème de leur destruction finale.

Benoit Dandine, expert en environnement et innovation et qui a notamment développé Clean Shaper à lancé The Resurf Project, premier projet au monde de recyclage de planches de surf, stand-ups, paddle boards ou bobyboards.

 

                                             

 

Hormis celles en polyuréthane, les planches en polystyrène majoritairement utilisées par les écoles de surf peuvent être recyclées.
La phase opérationnelle du projet consiste en 4 étapes : collecte de 1000 planches auprès de surfshops et écoles en France et Espagne (A raison de 2-3 planches jetées chaque année en moyenne par école, le nombre récupérable est important), délamination manuelle des 15% de matières non recyclable (résine, plastiques, dérives), broyage et compactage du polystyréne, transformation des blocs en nouveau pains de mousse.

 

 

Avec 1000 planches récupérées, prés de 450 planches flambants neuves pourront être fabriquées.

The Resurf Project s’appuie sur un système de Crowdfunding ( financement participatif ) : La participation financière de chacun d’entre nous peut être engagée, dans le but de financer la récupération des planches et l’acquisition d’un compacteur, auprès d'Ulule spécialiste en Crowdfunding.

 

 

L’idée d’une éco-participation sur ces planches est en cours et permettrait aussi d’engager du budget marketing et commercial pour sensibiliser les surfers à ce problème écologique.

Une taxe intelligente qui deviendrait un label et donnerait le sentiment à chaque surfer de participer à la sauvegarde de la nature.

Au delà de la France, si l’on songe au nombre de planches à recycler dans tous les pays où le surf est développé, un immense chantier sans frontières est à mettre en place sur la Planète surf...

 

 

 

 

 

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